TAXI 2 de Gérard Krawczyk
...Par ailleurs, les personnages principaux n'ont plus à se présenter et le scénario fait la part belle à deux seconds rôles totalement loufoques: le chef de la police, incarné par Bernard Farcy, et une vieille baderne de général campée avec délectation par Jean-Christophe Bouvet. A une époque où le cinéma populaire navigue à vue... Jean-Philippe Guerand Le Nouveau Cinéma - N°8 - mai 2000 - page 120
LA CHRONIQUE CINE de TELBUS "TAXI 2" dans lequel on retrouvera aux côtés de Sami Naceri et Frédéric Diefenthal le toujours étonnant Jean-Christophe Bouvet... TRIBUMOVE N° 18 - avril/mai 2000 - page 13
Les films qu'on peut voir cette semaine -----> Taxi 2 ... Ce film allègre, bien enlevé, fourmille au passage de répliques bien tapées et de cascades impressionnantes. Samy Naceri, Bernard Farcy, Frédéric Diefenthal, Emma Sjöberg et Marion Cotillard sont bons. En prime, il y a ausssi un sacré général, Jean-Christophe Bouvet. - P.V. 6 - " Le Canard enchaïné " - Mercredi 29 mars 2000
L'AGENDA DES FILMS --------->TAXI 2 ---------> www.premiere.fr ... Toute action étant passée au shaker frénétique du montage et recoupée encore par une autre action simultanée, le film se construit sans cesse en actions-réactions entre ceux qui font et ceux qui commandent (éclatant Jean-Christophe Bouvet en général). Bref, c'est du cinéma... Jean-Jacques Bernard - PREMIERE avril 2000 - page 48 -
L'ATTRAPE-COEURS Jean-Christophe Bouvet Quelle est la scène primitive qui t'a mené au cinéma? Cela a commencé à l'âge de 5 ans, en 1952, par une image de télévision : le couronnement de la reine d'Angleterre..... .... En ce moment, je lis LES NOUVEAUX CHIENS DE GARDE de Serge Halimi, CHOCOLAT CHAUD de Rachid O., et j'écoute Asian Dub Foundation, Moby, Lamb, Björk, IAM et NTM, pour la linguistique sexuelle et érotique. (lire article page 66 - 2/3 de page) Propos recueillis par Olivier Père. Photo © Stéphane Gizard Les Inrockuptibles . Du 4 au 10 avril 2000. N° 237 - page66
TAXI 2 ...Jean-christophe Bouvet en vieille baderne réactionnaire et Bernard Farcy en chef de la police croquent en outre leurs personnages avec une réjouissante fantaisie qui accentue l'aspect décalé d'un film cartoonesque qui trouve le juste équilibre entre comédie et action. Pierre Mortez LE MAGAZINE DES CINEMAS UGC AVRIL 2000 - N°78 - page 11
Taxi 2 de Gérard Krawczyk avec Samy Naceri, Bernard Farcy, Jean-Christophe Bouvet ... le film va jusquau bout de son ambition populaire en donnant la vedette à deux seconds rôles déchaînés : Bernard Farcy et surtout Jean-Christophe Bouvet, lacteur fétiche de Vecchiali et Biette, très à laise dans cet exercice de grand écart farcesque, qui offre par sa formidable présence la seule surprise et le véritable mouvement de délire de cette suite en conduite automatique. Olivier Père - Les Inrockuptibles - CINEMA - 28 mars 2000 - page 44
TAXI 2 de Gérard Krawczyk Lingrédient fondateur du récit se résume à la mise en place de quelques personnages très typés, un chauffeur de taxi aussi fonceur que malin (Samy Nacéri), des flics à côté de leurs pompes (Frédéric Diefenthal, Bernard Farcy), un général survolté (Jean-Christophe Bouvet, dordinaire mieux entouré), des méchants venus dailleurs (ici, des Japonais), sans oublier une poignée de bimbos au caractère et au sexe bien trempés (Emma Sjöberg, Marion Cotillard). Yann Gonzalez - Chronic'Art ( Le Magazine Culturel Francophone ) https://www.chronicart.com/home.htm
Ser Jean-Christophe Bouvet
VIDEO-DVD > UNE SELECTION Les Chemins de la différence CINEMA Ces cinq courts-métrages du jeune cinéaste Didier Blasco montrent à l'évidence un regard parfois cru mais toujours juste... UN ARRANGEMENT notamment, pointe les faux semblants au sein d'une famille a priori ordinaire: un père (Jean-Christophe Bouvet) menant une double vie va plonger dans le désespoir en découvrant celle de son fils... un auteur à suivre. 1 cassette, couleur, 80 min, Eklipse Vidéo, 169 F. Le Monde - (Le Monde Télévision) - 14 et 15 nov 1999 - p.37
AGENDA CINEMA -mercredi 3 novembre 1999 GLORIA de Manuela Viegas avec Raquel Marques, Jean-Christophe Bouvet. Rien à voir avec le chef-d'uvre de John Cassavetes (avec Gena Rowlands) ni son récent et minable remake (avec Sharon Stone). Un film inconnu au bataillon qu'on ira voir pour le toujours stupéfiant Jean-Christophe Bouvet. Illico - novembre 1999 - page 13
Guide cinéma Paris Nouveautés GLORIA 1999, 1h50, Franco-portugais de Manuela Viegas. Raquel Marques, Jean-Christophe Bouvet. Premier film pas mal avec Bouvet le magnifique. LIBERATION - 6 et 7 novembre 1999 - page 42
Les enfants du cafard GLORIA, un film portugais âpre et asphyxiant ...Le jeune Ivan (Francisco Relvas) débarque là pour vivre avec son père, Vicente (Jean-Claude* Bouvet en minotaure sous Lexomil: respect!). Il rencontre dans cette géographie provinciale stupéfiée.... Didier Peron - LIBERATION - 03/11/99 - page 38 ------------------------------------------------------ * Christophe et non pas Claude > Jean-Christophe Bouvet > ou mieux encore : Bouvet
Gloria ...un personnage encore jamais aperçu apparait soudain dans un coin du cadre, d'un autre on ne voit que le buste, plus tard le père (excellent Jean-Christophe Bouvet) s'acharne sur un chien sans raison apparente... Stéphanie Lerouge - ZOO Cinéma en Liberté - N°2 novembre 99 - page16
Gloria : fragments d'adolescence dans un village du Portugal
J.-F.R. - LE MONDE - mercredi 3 novembre 1999 - page 31
Xavier Leherpeur - CINE LIVE - novembre 99 - p.62 GLORIA ...un film visuellement abouti, nourri par une volonté de travailler les plans sur la durée afin d'y privilégier la pleine capacité du jeu des comédiens (Jean-Christophe Bouvet y est une fois encore remarquable).......
LES PASSAGERS ... Jean-Claude Guiguet rôde aussi autour des frontières sexuelles. Le tramway favorise toutes les rencontres. Homosexuelles, bisexuelles, hétérosexuelles, onanistes même, puisqu'à force de solitude on finit par ne plus rencontrer que soi-même. Un banlieusard en costard résume ce nouveau désordre amoureux dans une irrésistible logorrhée, le clou du film, rythmée par ce leitmotiv ahurissant et réjouissant : "Ma femme est un pédé"... Marine Landrot - TELERAMA - N° 2577 - 02/06/99 - page 36
Achille, Hamlet & Don Quichotte Jean-Claude Guiguet - ...Le film est constamment fait de ce tissage de situations d'une séquence à l'autre. Tous les fils que je tire sur la sexualité vont être regroupés dans une seule et unique séquence : le soliloque de Jean-Christophe Bouvet. En huit minutes, pour le coup, il va clore la question. Moi qui ai toujours rêvé de pouvoir faire rire, enfin, j'espère y être parvenu! Je connais Jean-Christophe Bouvet depuis vingt-cinq ans et j'ai toujours été fasciné par tout son discours sur la sexualité. C'est quelqu'un qui navigue beaucoup, qui est plus riche que moi sur ce plan. Sa pensée a d'abord l'air délirante mais, dans la folie, il y a toujours des éclairs de lucidité somptueuse". S.K. - Le monologue parle de la non-différenciation sexuelle. Jean-Claude Guiguet - Je suis très perplexe sur tous les cloisonnements et toutes les catégories que le pouvoir, depuis le XIXe siècle, a réussi à mettre sur la sexualité...
Jean-Christophe Bouvet, acteur hénaurme
Festival de Cannes mardi 18 mai Les Passagers... l'opérette comique d'un fétichiste du pied, la romance solaire d'un couple qui naît, le one-man show café-théâtre de l'extraordinaire Jean-Christophe Bouvet en pleine tirade non-sensique et pleine de sens sur les femmes pédées et les hommes lesbiens, le documentaire topographique sur une urbanité malade du béton et des projets immobiliers absurdes... Serge Kaganski. LES INROCKUPTIBLES - 26 mai 1999 - N° 200 -page 24
Au fil d'un tramway, «les Passagers» enchaîne des saynètes enchantées.
.... Comme les passagers, les genres cinématographiques se succèdent. On passe de la veine populaire des films des années 30 (Duvivier, Grémillon), ponctuée de chansons ("Y'a tant d'amour" de Patachou à "Spleen" de Léo Ferré) au documentaire lyrique sur les sites désolés de la société de consommation en passant par une succession de saynètes d'un humour décalé comme le monologue enchevêtré et fou de Jean-Christophe Bouvet sur les imbroglios de l'homosexualité d'aujourd'hui. Les anecdotes s'enchaînent merveilleusement, liées par le fil conducteur d'une narratrice-témoin (Véronique Silver) qui perd peu à peu de sa nécessité en tant que tel pour incarner au final un médecin-chef à l'hôpital soucieux de la détresse humaine. Autour d'elle les personnages évoluent et s'enracinent, nouent entre eux des liens d'amitié et d'amour, ont des aspirations simples, rêvent, meurent. Tous embarqués dans le même voyage sur un tramway nommé la Vie.
Jean-Christophe Bouvet >
A propos de : LES PASSAGERS de Jean-Claude Guiguet
LOULOU
49e BERLINALE
Entretiens avec Jean-Claude Biette (2e partie)
Satané Bouvet!
EasyNet
Entretiens avec Jean-Claude Biette (1re partie) Propos recueillis par Benjamin Esdraffo et Julien Husson, le 8 mars 1998 In La Lettre du Cinéma N°7 - Automne 1998 - pages 40 à 59
Acteurs : le jeu des sept familles
Jean-Christophe Bouvet MAIGRIT Parfois les pages personnelles sont tres droles. celle du comedien Jean-Christophe Bouvet se presente ainsi/ à 5 ans.................une page necessaire pour tous les fans de Jean-Christophe Bouvet. in LIBERATION 10/10/97, supplement MULTIMEDIA page V.
Derniere question de l'interview de Serge Bozon a propos de la sortie le 3 Sept.97 de son premier long metrage L'AMITIE Quels sont vos projets? Je travaille sur un nouveau long metrage intitule LES PENITENTS. Cette fois, les acteurs y seront plus ages puisque j'ai pense a Jean-Christophe Bouvet, Leonor Silveira et Michel Piccoli. Il s'agira d'une histoire de vengeance dans le genre des romans d'aventures de Dumas. Propos recueillis par Philippe Leclercq, le 18 juin 1997. CineLibre Juil-Aout 97, page 16
L'hommage de Godard à Biette à Ciné 32 LA DEPECHE DU MIDI mardi 10/12/96
A propos de Dans la Décapotable de Merzak Allouache, France, 1996. Deux garçons partent en week-end. Dans la décapotable qui les emmËne, l'un d'eux, qui a oublié sa boîte de préservatifs, sent monter en lui une angoisse croissante à l'idée que son ami n'y aie pas pensé non plus. Réunissant l'immense Jean-Christophe Bouvet (acteur fétiche de Jean-Claude Biette) et la mythique Amanda Lear, ce scénario bénéficie du casting le plus excitant du projet. in IDOL décembre 96 - n° 28
A propos deLe Rocher d'Acapulco de Laurent Tuel, France, 1995. ...La singularité de Laurent Tuel se remarque jusque dans son casting, parfait, qui redonne un certain éclat à la notion souvent négligée de second rôle. On remarquera donc Zinedine Soualem, qui en ce moment devient une bonne habitude du grand écran (quoique son côté "Beur de service" soit sans doute le seul maillon convenu du film), Jean-Christophe Bouvet parfaitement inquiétant en folle sadique, l'éternel revenant Howard Vernon dans une réjouissante apparition fétichiste (coÔncidence ou pas, Vernon et Bouvet sont aussi dans Le Complexe de Toulon de Biette)... Serge Kaganski. Les Inrockuptibles du 24 au 30 avril 96 - N°54
A propos deLe Terminus de Rita de Filip Forgeau et Maryel Ferraud, France, 1996. Filip et Maryel ont créé les Films du Désordre et préparent déjà un second long, Le Terminus de Rita, au casting singulièrement alléchant puisqu'on y retrouvera Bernadette Lafont, Lou Castel et Jean-Christophe Bouvet (visible en ce moment dans Le Complexe de Toulon). Serge Kaganski. Les Inrockuptibles du 24 au 30 avril 96 N°54
A propos deLE COMPLEXE DE TOULON de Jean-Claude Biette, France, 1996. Jean-Claude Biette poursuit sa réflexion sur la relation théorique et dramaturgique de l'écriture et du cinéma. Difficilement accessible, malgré la présence revigorante de l'excellent comédien Jean-Christophe Bouvet. L'EXPRESS, N°2336 semaine du 11 au 17 avril 1996
A propos de LE COMPLEXE DE TOULON de Jean-Claude Biette, France, 1996. Biette à part
Frédéric Bonnaud. LES INROCKUPTIBLES, du 10 au 16 avril 1996 - N° 52 ...Cette magie physique du film est d'abord servie par Jean-Christophe Bouvet (Chris), qui invente ici un étrange corps picaresque, flottant et massif à la fois, que ce soit au lit, sur scËne ou dans la rue: Chris n'est rien d'autre qu'une succession d'états ramenés à une identité, un peu comme le morceau de cire de Descartes. Qu'il fonde ou qu'il reste solide, Chris est toujours là, tel qu'en lui-mÍme l'éternité le change, mais cette identité, c'est au spectateur de la poser: Descartes appelait cela le jugement, nous disons la croyance. Ainsi cet acteur, pas encore habillé en comédien, vit-il tout le cycle d'une révolution matérielle.... Laurent Roth. Cahiers du cinéma n°501 AVRIL 96. page 52
Partage du plaisir ...non par quelque vantardise verbale, mais par son détachement devant ces vicissitudes. Ecrivant ceci du personnage (Jean-Christophe Bouvet, qui lui donne sa nonchalance toute de grâce enrobée), j'ai peur qu'on puisse croire... Emile Breton. L'HUMANITE, mercredi 10 avril 1996.
LES BONS FREQUENTAGES DU FESTIVAL DE DUNKERQUE ".....Jean-Henri Roger et même le diabolique, tellurique Jean-Christophe Bouvet, notre Bruce Willis français, injustement dépossédé du prix d'interprétation féminine qu'il guignait pour sa composition dans Le Complexe de Toulon. Fort heureusement le film de Jean-Claude Biette a néanmoins été choyé par le jury qui lui a attribué son prix de la mise en scène......" --------------------------------- A propos de J'EMBRASSE PAS de André Téchiné. France 1991 ...Je pense, en particulier, à J'EMBRASSE PAS et à MY OWN PRIVATE IDAHO. Mais ici le cinéma commence et se fait entendre avec ses différences en chaque film. Je reprends la précieuse notion de sémiologie des corps à l'acteur et insatiable vidéaste,Jean-Christophe Bouvet, qui m'aide à dégager les qualités du film américain... Jean-Claude Biette. TRAFIC 2 - printemps 1992 -------------------------------------------- ...Dans la seule scène un peu gaie de ce film lugubre (où même Jean-Christophe Bouvet est bressonien), Noiret et Desny font les folles.... Serge Daney. TRAFIC 2 - printemps 1992 -------------------------------------- A propos de SOUS LE SOLEIL DE SATAN de Maurice Pialat. France 1987 ...La troisième est constituée par le pacte avec le diable : la scène d'errance de Donissan, enfoncé dans la terre froide du nord, au cours de laquelle il est rejoint par le maquignon (Jean-Christophe Bouvet, très bon en lutin satanique) qui lui tourne la tête. Serges Toubiana. CAHIERS DU CINEMA Juin 1987
Joshka Schidlow. TELERAMA 27/05/87
Serges Daney. LIBERATION 15/05/87
Il y a dans la carrière de Gérard Depardieu un avant et un après. En tournant Sous le soleil de Satan, on dirait qu'il a rencontré la peur pour la première fois sur un plateau de cinéma. A partir de ce moment, rien n'était plus pareil. L'acteur dit "boulimique" continue à tourner autant, mais maintenant il joue différemment.... Serges Toubiana. CAHIERS DU CINEMA MAI 1989
ARTS ET SPECTACLES SULFUREUSE Un autre regard sur la villeFredo le garcon de café, la fleuriste de la place de Jaude, le buraliste, la jolie réceptionniste de l'hÙtel République, un agent de la voirie, et mÍme un marchand de jouets : ils ont tous signé un pacte avec le diable! Jean-Christophe Bouvet, démon palmé d'or en 87 aux cÙtés de Depardieu, pour le film de Pialat " Sous le soleil de Satan", a jeté son sulfureux dévolu sur quelques mes clermontoises. Silence ! Moteur...Áa tourne...Action! Doux Jésus! Le démon au regard érugineux a établi ses pénates dans la ville noire pour les répétitions des "Collectionneurs", la pièce de René-Jean Clot qui sera donnée les 14, 15 et 16 novembre, à l'Opéra municipal. Un rôle sur mesure si l'on en croit le texte : "J'ai épousé Satan! Le nom de mon mari est Satan!" éructe la tendre moitié de ce "Lucifer collectionneur de Christ". Sa divine colère passée et le Malin trépassé, l'appétissante Bessy, joliment incarné par Camille Celia, fera une fort jolie veuve. Mais c'est une autre histoire... Vagabondage Julien Sicard, de l'agence la Litote et néanmoins plus jeune producteur de France, a de l'ambition: " Il s'agit d'un vagabondage en clin d'oeil. Chaque magazine sera composé de six sujets confiés à autant de réalisateurs venus du cinéma, ce qui est un label de qualité. Ils auront carte blanche sur le tournage". Premier du nom : Gérard Frot Coutaz, qui a signé "Beau temps mais orageux en fin de journée", et "Après, après-demain". Gérard Frot Coutaz est persuadé que l'on est comme on vit: "Pas de séparation entre quotidien et travail. Chez Bouvet, c'est exemplaire: tout nourrit son art. C'est un grand jouisseur". Fiction certes, mais sans artifice: "Il faut savoir être insolent: la vérité l'est. Il faut aussi être capable de manier l'humour sans donner l'impression de vouloir le convoquer à tout prix". Fredo et les autres Et nos Clermontois dans tout ça? Fredo et ses complices en pellicule seront mis en boîte eux aussi pour avoir croisé les quotidiennes et urbaines déambulations de Bouvet: "Bonjour Fredo, vous avez un beau sourire ce matin!". Et Fredo de répondre invariablement: " Sourire pudique. La pudeur de la souffrance, monsieur, c'est la grande force des hommes virils!". Et chaque commerçant de décliner son mystérieux mot de passe tiré des "Collectionneurs". R. DUCLOS.
A propos de LA MACHINE de Paul Vecchiali. France 1977.
Serge Bozon. page 84 -"Vive le Cinéma Français" 1994 - Retour Vers le Réel - Conseiller artistique Jean Douchet. ISBN : 2-9508055-1-5
Jacques Siclier. LE MONDE 17/09/77
Michel Perez. LE MATIN 15/09/77
David Overbey. THE PARIS METRO 28/09/77 |